CINEMA

 

 

 

 

 

"Fondus du grand écran,
Allumés d'la pelloche,
Au ciné tout est grand
A la télé tout est moche".

 

[Films : mon top 500]

 

J'ai eu la chance de connaître l'époque des cinés de quartiers et des films qui visaient leur clientèle. Les réalisateurs se devaient de s'adresser à un public familial, en envisageant pour chacun des lectures indépendantes autour d'une même histoire, et au delà de la famille, le film devait tenir compte, bonne critique oblige, d'exigences cinéphiliques en plein développement. Certains metteurs en scène comme Billy Wilder pour n'en citer qu'un, excellaient dans cet exercice de style, et, même si tous les films n'atteignaient pas cette qualité tous azimuths, l'apprentissage de la culture du cinéma devenait un jeu d'enfant : il suffisait de se laisser emporter par des images gratifiantes qui entraient en nous par la rétine puis fermentaient via une lente alchimie cérébro-sentimentale.

 

 

Les cinés de quartiers ont maintenant disparu, même s'il existe encore à Lyon un cinéma comme le Comœdia qui reste fidèle à leur esprit -- j'en profite d'ailleurs pour saluer la belle initiative et le travail de ceux qui le gèrent. Et, phénomène fortement lié à cette disparition et à l'apparition des multiplex, les films qui sortent chaque mercredi s'adressent à un public ciblé, selon une logique fédéraliste de marketing. J'ai toutefois l'impression que la toile reste toujours au cœur de notre tissu familial, de notre tissu social, celui qui nous unit et nous partage en autant de regards qu'un Brian de Palma peut intégrer dans son œil de maître. La cinéphilie, ou cinémania selon l'humeur, a de beaux jours devant elle, entre internet qui permet de partager ses passions en mpeg, le home-cinema, et surtout le dvd qui permet d'apprivoiser un film dans tous ses détails avec sa pause, son "rewind", ses options de langage et sous-titres, et les différents bonus et autres making-offs. Personnellement, je trouve que toutes ces nouveautés sont utiles en tant que relais de la séance en salle ; j'ai vraiment l'impression de m'approprier un film seulement si je l'ai vu en salle, l'unique rôle du dvd étant de réveiller ou d'affiner des émotions que j'ai ressenties devant l'écran. Seule la projection en salle obscure me donne le sentiment de vivre l'actuel, le grandiose et l'universel, de retrouver la magie du zootrope revisitée par Francis Ford Coppola.

 

 

J'ai mis ci-dessous une liste de films-enzymes qui ont fermenté dans mon laboratoire psycho-affectif. Pour mémoire. Peut-être pour inciter à les voir, ou à les revoir sous un autre angle, en tout cas certainement pas pour créer une polémique, mais des échanges, pour le plaisir. La seule chose qui me bloque dans ces échanges, c'est lorsqu'on cherche, en matière d'art, à tracer une ligne entre le bien et le mal ("You have to draw a line in the sand here, it's not fucking Viet-Nam", dit le névrosé John Goodman dans the Big Lebowski) ; les certitudes dans ce domaine me mettent sous l'emprise d'une force inconsistante qui me paralyse. D'ailleurs, j'ai une affection particulière pour les films où cette ligne est floue, et en particulier quand cette ligne évolue, par exemple quand les personnages antipathiques deviennent progressivement attachants, non pas à la suite d'une rédemption quelconque, mais simplement parce que le regard du spectateur a évolué au cours du film, avec l'aide de la mise en scène ("Tellement proches", "Quelques jours avec moi"...). En fait, je n'ai pas l'impression d'être fixé sur un genre ou un style, je peux me sentir chez moi autant dans une cinémathèque d'art et essai que devant un blockbuster de James Cameron ou un teen movie de basse gamme. C'est comme pour les fromages où je peux me régaler un jour avec un mont d'or arrosé de vin jaune, puis m'éclater le soir avec un caprice des dieux et du gros rouge en cubi. Faut pas bouder son plaisir, et surtout, assumer! Alors on peut aimer les films sur quels critères? En tant que matheux, je suis particulièrement sensible aux films-théorème, selon l'expression du critique André Bazin qui disait que tout film doit être un théorème : ces films qui exposent leurs énoncés, et dont tout le déroulement est une preuve : parmi eux quelques fables, quelques contes moraux, quelques études sociales... Mais ces films-théorème se cachent aussi dans pas mal de nanards, par exemple le fameux "les hommes préfèrent les grosses" avec Daniel Auteuil, Josiane Balasko et Luis Régo qui tout en se positionnant dans la version franchouillarde de l'entertainment, prouve son énoncé subversif dans une démonstration implacable. J'aime bien aussi ces films qui, dans leur dimension universelle, collent au corps longtemps après vision, ces films dont souvent le titre même dissimule une métaphore qui va se calquer sur les éléments de notre quotidien, je pense par exemple à Taxi driver de Scorsese, à Titanic de Cameron ou Dracula de Coppola. J'aime aussi et surtout la sensation forte d'être en face d'un auteur, une puissance abstraite, un être que j'ai l'impression de connaître intimement uniquement par son regard. On peut aussi être habité par un film à cause d'un cas de conscience traumatisant que son scénario a fait naître et/ou d'une image qui refuse absolument de nous quitter. Et puis pêle-mêle, parmi les films que j'ai pu conserver en mémoire il y a ceux qui se présentent comme des miroirs de notre civilisation, de notre société, ou inversement comme des regards sur un autre monde, il y a ceux qui font découvrir des réalités fondamentales (comme le sujet tabou de la vente d'armes de guerre dans "Lord of war" ou des enfants-soldats dans "Johnny mad dog"), ou plus souvent ces films-sentinelle qui remettent en mémoire des vérités importantes que l'on s'est empressé d'oublier.

 

 

Enfin, il est largement aussi instructif de voir des mauvais films, bien sûr afin de mieux apprécier les bons, mais pas uniquement. Non seulement pour l'aspect jouissif d'un navet authentique, mais aussi pour la reconnaissance du montage, de la mise en scène, du script dont on découvre toutes merveilles par la contraposée, dans le même ordre d'idée que le sucre est ce qui rend le café amer quand on n'en met pas dedans. Pour dénicher ces films qui excellent dans le pire, il y a bien les Razzie awards, mais aussi les sites de série Z comme celui de nanarland . Le film nommé pire œuvre de toute l'histoire du cinéma serait "Plan 9 from outer space" d'Ed Wood, metteur en scène illuminé et immortalisé par Tim Burton. Cyril Caldero, explorateur occasionnel du monde du Z, m'a fortement conseillé le (relativement) récent "Jacquou le croquant" qui vaut largement son pesant d'arachides.

 

 

 

 

Voici donc une petite sélection de films. Bien entendu, je ne les ai pas choisis trop récents : ça m'est assez souvent arrivé de sortir complètement enthousiaste d'un film que j'ai oublié dans le mois qui suivait, ou qui à la seconde vision m'a paru décevant... Il vaut mieux donc avoir un minimum de distance, mais pas trop quand même... J'ai ajouté le nom des metteurs en scène quand il s'agit d'auteurs dont j'essaie de suivre la filmographie.

 

 

Pour plus de précision concernant les films, on peut faire une recherche sur le site International Movies Data Base (V.F.) ou International Movies Data Base (V.O.).

 

 

Henri Cartan raconte l'histoire des mathématiciens défenseurs des droits de l'homme et la libération du mathématicien Leonid Plyushch. De quoi inspirer les générations actuelles! Un documentaire de la réalisatrice Isabelle Broué.

 

 

1941 (Steven Spielberg)

 

 

A nos amours (Maurice Pialat)
A serious man (les Frères Coen)
*A tombeau ouvert (Martin Scorsese)
L'abominable Docteur Phibes
Les adieux à la reine (Benoît Jacquot)
Les affranchis (Martin Scorsese)
*After hours (Martin Scorsese)
L'age des possibles
L'âge de glace
Albert à l'ouest (Seth MacFarlane)
Alice dans les villes (Wim Wenders)
Amer béton
*America America (Elia Kazan)
*American beauty (Sam Mendès)
American history X
L'ami de mon amie (Eric Rohmer)
L'amour est un crime parfait (les frères Larrieu)
Angel heart (Alan Parker)
Aniki, mon frère (Takeshi Kitano)
Anna M.
Apnée (Jean-Christophe Meurisse)
**Apocalypse now (Francis Ford Coppola)
*Les apprentis (Pierre Salvadori)
Arizona Dream (Emir Kusturica)
Arizona Junior (Freres Coen)
Arrête-moi si tu peux (Steven Spielberg)
L'associé du diable
Asterix et Obelix : Mission Cléopatre
*L'auberge espagnole (Cedric Klapisch)
*Austin powers
Les autres (Alejandro Amenabar)

 

Le baiser de la femme araignée
*Le bal des vampires (Roman Polanski)
La bande des quatre (Jacques Rivette)
*Be kind rewind (Michel Gondry)
Beettlejuice (Tim Burton)
Belle de jour (Luis Bunuel)
La belle et la bête (Jean Cocteau)
Ben-Hur (William Wyler) En voici une version par Mozinor
La bête humaine (Jean Renoir)
*The big Lebowski (Frères Coen)
Birdman (Alejandro Inarritu)
Black swan (Darren Aronofsky)
Block party (Michel Gondry)
Bloody sunday (Paul Greengrass)
Blow out (Brain De Palma)
Blow up (Michelangelo Antonioni)
Blue velvet (David Lynch)
*Le bon, la brute et le truand (Sergio Leone)
Bons baisers de Bruges
Boudu sauve des eaux (Jean Renoir)
Bouge pas, meurs ressuscite
*Box of moonllght (Tom Di Cillo)
Bowling for Columbine (Michael Moore)
*Brazil (Terry Gilliam)
Breaking the waves (Lars von Trier)
Les bronzés (Patrice Leconte)
Buffalo '66 (Vincent Gallo)
Buffet froid (Bertrand Blier)

 

*Ca tourne à Manhattan
Calmos (Bertrand Blier)
El camino de San Diego
Casino (Martin Scorsese)
Ce plaisir qu'on dit charnel (Mike Nichols)
Ce que le ciel permet (Douglas Sirk)
Cent mille dollars au soleil (Henri Verneuil)
Central do Brasil
La cérémonie (Claude Chabrol)
Chacun cherche son chat (Cédric Klapisch)
Charlot émigrant
Chat noir, chat blanc (Emir Kusturica)
Le château dans le ciel (Hayao Miyazaki)
Le château de l'araignee
Chinatown (Roman Polanski)
Le choix (Idrissa Ouedraougo)
*Chungking express (Won Kar Wai)
La chute
Cible emouvante (Pierre Salvadori)
Le ciel peut attendre (Ernst Lubitsch)
Circonstances attenuantes
La cité de Dieu
Citizen Kane (Orson Welles)
La classe de neige (Claude Miller)
Clean (Olivier Assayas)
*Clerks I et II (Kevin Smith)
Collatéral (Michael Mann)
Comme les anges déchus de la planète Saint-Michel
*Comment je me suis disputé (Arnaud Desplechin)
The commitments (Alan Parker)
Contes de saison (Eric Rohmer)
*Les contes de la lune vague après la pluie (Kenji Mizogushi)
Cookie's fortune (Robert Altman)
Le corbeau (Georges Clouzot)
Coup de torchon (Bertrand Tavernier)
Cours Lola, cours
C.R.A.Z.Y.
Le crocodile du Botswanga (Fabrice Eboué)
La croisière du navigator

 

Dallas buyers club (Jean-Marc Vallée)
Dancer in the dark (Lars von Trier)
Dans la cour (Pierre Salvadori)
Dans la peau de John Malkovich
De battre mon cœur s'est arrété (Jacques Audiard)
De Hollywood à Tamanrasset
* De l'or pour les braves
Dead zone (David Cronenberg)
**Dead man (Jim Jarmusch)
Deadpool (Tim Miller)
La déesse (Satyajit Ray)
Les démons de Jesus
La dernière folie de Mel Brooks (Mel Brooks)
2001, Odyssée de l'espace (Stanley Kubrick)
Didier
Dieu seul me voit (Denis Podalidès)
La discrète
Le diner de cons (Francis Wéber)
Do the right thing (Spike Lee)
Docteur Folamour (Stanley Kubrick)
Docteur Jerry and Mister Love
Donnie Brasco
Les douze salopards
Down by law (Jim Jarmusch)
Drôle de Felix
Duel (Steven Spielberg)

 

L'echelle de Jacob (Adrian Lyne)
Eden (Mia Hansen-Løve)
Edward aux mains d'argent (Tim Burton)
Elephant (Gus van Sant)
*L'empire contre-attaque (Georges Lucas)
Enfants de salauds (Tonie Marshall)
Les enfants du ciel (Majid Majidi)
Les enfants du paradis (Marcel Carne)
Engrenages
*L'epouvantail (Jerry Schatzberg)
L'été de Kikujiro (Hayao Miyazaki)
*Eternel sunshine of the spotless mind (Michel Gondry)
L'évangile selon Mathieu (Pier Paolo Pasolini)
Evil dead
Excalibur (John Boorman)
L'exercice de l'état (Pierre Schoeller )
*L'exorciste
Exotica (Atom Egoyan)
L'extravagant Mister Deeds (Frank Capra)

 

Le fabuleux destin d'Amélie Poulain (Jean-Pierre Jeunet)
*Le facteur
Le facteur sonne toujours deux fois (Bob Rafelson)
La famille Tennenbaum (Wes Anderson)
Fantastic Mr Fox (Wes Anderson)
Fast food, fast women
La faute à Voltaire (Abdellatif Kechiche)
La femme d'à côté (Francois Truffaut)
Femmes au bord de la crise de nerfs (Almodovar)
Le festin de Babette
Fighter
Fish and chips
Fiorile (Freres Taviani)
La folle histoire de Max et Leon (Golden Moustache)
*Frankenstein Junior (Mel Brooks)
The french connection (William Friedkin)
The full monty

 

Gainsbourg: ma vie héroïque (Johann Sfar)
Gangs of New-York (Martin Scorsese)
Le gaucher (Arthur Penn)
Les gens normaux n'ont rien d'exceptionnel
Get out (Jordan Peele)
Ghost dog (Jim Jarmusch)
The ghost writer (Roman Polanski)
Good bye Lenin
Good morning Babylone (Freres Taviani)
Le goût des autres (Agnès Jaoui)
La graine et le mulet (Abdellatif Kechiche)
Le grand bain (Gilles Lellouch)
Grand Budapest Hotel (Wes Anderson )
Le grand embouteillage
Le grand soir (Kervern et Delépine)
La grande bouffe (Marco Ferreri)
*La grande illusion (Jean Renoir)
La grande lessive (Jean-Pierre Mocky)
La grande séduction
Grease
Grégoire Moulin contre l'humanité
Gridlock'd
Guy (Alex Lutz)

 

La haine (Mathieu Kassovitz)
Halfaouine : l'enfant des terrasses
Hana-bi (Takeshi Kitano)
Harry, un ami qui vous veut du bien
Harold et Kumar s'évadent de Guantanamo
Le hasard (Krzysztof Kieslowski)
Haut les coeurs
Helsinki-Napoli
High fidelity (Stephen Frears)
L'homme qui retrécit
L'homme qui tua Liberty Valance
L'homme qui voulut etre roi (John Huston)
L'homme sans passé (Aki Kaurismaki)
L'homme tranquille
Hope and glory (John Boorman)
Hot fuzz (Edgar Wright)
The hours
Huit femmes
La huitième femme de barbe-bleue (Ernst Lubitsch)
*Husbands (John Cassavetes)

 

Ils vont tous bien
In Bruge
Les inconnus dans la maison (Henri Decoin)
Indigènes (Rachid Bouchareb)
L'insoutenable legerete de l'etre
L'inspecteur la bavure
Intouchables (Nakache et Toledano)
Les invasions barbares (Denis Arcand)
Irène
Irina Palm
Itinéraire d'un enfant gate

 

Jackie Brown (Quentin Tarantino)
Janis & John
Je règle mon pas sur le pas de mon père
Jésus camp
*Jésus de Montréal (Denis Arcand)
*Joker (Todd Phillips)
Joue la comme Beckam
*Jour de fête (Jacques Tati)
Journal d'une femme de chambre (Benoit Jacquot)
Joyeuses funérailles

 

La kermesse héroïque
Kill Bill (Quentin Tarantino)
The king and the clown (Lee Joon-ik)
Kirikou et la sorcière

 

Las Vegas Parano (Terry Gilliam)
*Le lauréat (Mike Nichols)
La lectrice (Michel Deville)
Lenny
Lettre d'une inconnue (Max Ophuls)
*La ligne rouge (Terence Malick)
Liberté Oleron (Bruno Podalydès)
Lily, aime moi
*Little big man (Arthur Penn)
Little miss sunshine
Little Sénégal
La loi de la jungle (Antonin Peretjako)
Looking for Eric (Ken Loach)
Looking for Richard
Lord of war
Louise et Michel (Kervern et Delépine)
Lucia y el sexo
Les lumières de la ville (Charlie Chaplin)
Lulu, femme nue (Solveig Anspach)
Luna Papa

 

M le Maudit (Fritz Lang)
Ma saison préférée (Andre Techine)
*Macadam cow-boy
La machine à explorer le temps
Mafia blues
*La maman et la putain (Jean Eustache)
Mammuth (Kervern et Delépine)
Man on the moon (Milos Forman)
Marie-Antoinette (Sofia Coppola)
Les maris, les femmes les amants (Pascal Thomas)
Marius
Mary à tout prix (Frères Farelli)
Mash (Robert Altman)
Match point (Woody Allen)
Matrix Reloaded
Mauvais sang (Leos Carax)
Les mauvaises herbes (Kheiron)
Mean streets (Martin Scorsese)
Le mécano de la Général
La meilleur façon de marcher
La merditude des choses
Mes doubles, ma femme et moi
Metropolis (Fritz Lang)
Meurtre dans un jardin anglais (Peter Greenaway)
1941 (Steven Spielberg)
Midnight run
Mina Tannenbaum
Le miraculé (Jean-Pierre Mocky)
Moby Dick (John Huston)
Molière (Ariane Mnouchkine)
La môme
Mommy (Xavier Dolan)
Mon nom est personne
*Mon oncle (Jacques Tati)
Mon oncle d'Amérique (Alain Resnais)
Mon voisin Totoro (Hayao Miyazaki)
Monsieur Smith au senat (Frank Capra)
Les monstres (Dino Risi)
Monte la-dessus
*Monty Python La vie de Brian (Monty Python)
*Monty Python Sacre Graal (Monty Python)
*Monty Python le sens de la vie (Monty Python)
Motown, la véritable histoire
Much loved (Nabil Ayouch)
*Mulholland drive (David Lynch)
Mustang (Deniz Gamze Ergüven)
My little princess
My sweet pepper land (Hiner Saleem)
Mystery train (Jim Jarmusch)

 

Naked (Mike Leigh)
Napoléon (Abel Gance)
Les naufragés de l'île de la tortue (Jacques Rozier)
The navigators (Ken Loach)
Nebraska (Alexander Payne)
Nocturne indien
Nola darling n'en fait qu'à sa tête (Spike Lee)
Le nom de la rose (Jean-Jacques Annaud)
Nos jours heureux (Nakache-Toledano)
N'oublie pas que tu vas mourir (Xavier Beauvois)
Nous irons tous au paradis
Nous nous sommes tant aimés (Ettore Scola)
Les nouveaux monstres (Dino Risi)
La nouvelle Eve
La nuit de l'iguane (John Huston)
*La nuit du chasseur
*Les nuits de la pleine lune (Eric Rohmer)

 

*O'brother (Frères Coen)
*Ocean's eleven (Steven Soderbergh)
L'œil au beurre noir
Oh boy (an-Ole Gerster)
Old boy
Once upon a time in Hollywood (Quentin Tarantino)
Only lovers left alive (Jim Jarmusch)
*Opening night (John Cassavetes)
Orange mécanique (Stanley Kubrick)
Osmosis Jones
*OSS 117 : Le Caire nid d'espions
Où est la maison de mon ami (Abbas Kiarostami)

 

Le paltoquet (Michel Deville)
La panthère rose (Blake Edwards)
Papy fait de la résistance
*Paranoïd park (Gus van Sant)
Parle avec elle (Almodovar)
Le pari
*Le parrain I et II (Francis Ford Coppola)
*La party (Blake Edwards)
La passion de Jeanne D'arc
Pauline à la plage (Eric Rohmer)
Le père Noel est une ordure
*Le péril jeune (Cedric Klapisch)
Persepolis
Le petit criminel (Jacques Doillon)
Le petit voleur (Erick Zonca)
Phantom of the Paradise (Brian de Palma)
Pierrot le fou (Jean-Luc Godard)
*Le pigeon
Pirates des Caraïbes
Pleure pas la bouche pleine (Pascal Thomas)
Le point de non retour (John Boorman)
La poison
Le pornographe
Portrait de la jeune fille en feu (Céline Sciamma)
Poussière d'ange
Première année (Thomas Lilti)
*Pulp fiction (Quentin Tarantino)

 

Quai des orfèvres (Marcel Carne)
*Les quatre cent coups (Francois Truffaud)
Quatre mariages et un enterrement
Que la fête commence (Bertrand Tavernier)
Que la bête meure (Claude Chabrol)
The queen (Stephen Frears)
Quelques jours avec moi (Claude Sautet)

 

Raggedy
Raining stones (Ken Loach)
Les randonneurs
Réalité (Quentin Dupieux)
La reine des pommes (Valérie Donzelli)
Rencontres du troisième type (Stieven Spielberg)
*Requiem for a dream (Darren Aronofsky)
*Reservoir dogs
Respiro
La revanche d'une blonde
Le rêve de Cassandre (Woody Allen)
Ridicule
Riens du tout (Cedric Klapisch)
Ring
Roberto Succo (Cedric Kahn)
The rocky horror picture show
Rogue one (Gareth Edwards)
Le roi et l'oiseau
Les rois mages
Rome ville ouverte
Romuald et Juliette (Coline Serreau)
La rose pourpre du Caire (Woody Allen)
Les roseaux sauvages (Andre Techine)
Rosemary's baby (Roman Polanski)
Rue case-nègres
La ruée vers l'or (Charlie Chaplin)
Rush hour 2

 

Selon Matthieu (Xavier Beauvois)
Shrek
Sixième sens (Night Shyamalan)
Smoke/Brooklyn boogie
Snake eyes (Brian de Palma)
La souris
Star wars : Episode III--IV-V*-VI (George Lucas)
Sur mes lèvres (Jacques Audiard)
Sac la mort (Emmanuel Parraud)
*Le salon de musique (Satyajit Ray)
Le samouraï (Jean-Pierre Melville)
Sans toit ni loi
Scarface (Brian de Palma)
Les sentiers de la gloire (Stanley Kubrick)
*La sentinelle (Arnaud Desplechin)
**Les sept samouraïs (Akira Kurosawa)
Le septième sceau (Igmar Berman)
Le septième voyage de Sinbad
Série noire (Alain Corneau)
*The servant (Joseph Losey)
*Sexe, mensonges et vidéos (Steven Soderbergh)
Shaun of the dead (Edgar Wright)
*Le sherif est en prison (Mel Brooks)
*Shining (Stanley Kubrick)
Short cuts (Robert Altman)
Le signe du lion (Eric Rohmer)
Silverado
Le skylab (Julie Delpy)
La smala
The snapper (Stephen Frears)
*Snake eyes (Brian de Palma)
Soleil trompeur
Soupe au canard
Le sourire (Claude Miller)
Sous le plus grand chapiteau du monde
Spartacus (Stanley Kubrick)
Stalker (Andrei Tarkovski)
La Strada (Federico Fellini)
Susie et les Baker boys

 

The tailor of Panama (John Booman)
Taxi blues (Pavel Lounguine)
*Taxi driver (Martin Scorsese)
Tel pere, tel fils (Hirokazu Kore-eda)
Les temps modernes (Charlie Chaplin)
Tenue de soirée (Bertrand Blier)
Thank you for smoking (Jason Reitman)
Themroc
Thirteen
Three billboards (Martin McDonagh)
Tigres et dragons
Timbuktu (Abderrahmane Sissako)
Titanic (James Cameron)
Tombe les filles et tais toi (Woody Allen)
Le tombeau Hindou (Fritz Lang)
Les tontons flingueurs (Georges Lautner)
*La tour Montparnasse infernale
Toy story 1-4 (Pixar) Travelling avant (Jean-Charles Tachella)
Très bien, merci
Le trésor de la Sierra Madre (John Huston)
Trois amigos
Trois souvenirs de mon enfance (Arnaud Desplechin)
The Truman show (Peter Weir)
Trust me (Hal Hartley)

 

Un air de famille (Cedric Klapisch)
*Un après-midi de chien (Sydney Lumet)
Un conte de Noël (Arnaud Desplechin)
*Un jour sans fin
Un mauvais fils (Claude Sautet)
*Un monde sans pitié (Eric Rochant)
Un poisson nomme Wanda
Un prophète (Jacques Audiard)
Un singe en hiver (Henri Verneuil)
*Un tramway nomme désir (Elia Kazan)
Under the silver lake (David Robert Mitchell)
Une affaire de famille (Hirokazu Kore-Eda)
Une chatte sur un toit brulant
Une femme sous influence (John Cassavetes)
Une histoire vraie (David Lynch)
Une nuit à l'opera
Une seconde mère (Anna Muylaert)
Une séparation
Usual suspects

 

Les vacances de Monsieur Hulot (Jacques Tati)
La vallée (Barbet Schroeder)
*Les valseuses (Bertrand Blier)
Van Gogh (Maurice Pialat)
Les vécés étaient fermés de l'intérieur
Vénus beauté (Tonie Marshall)
Le vent (Souleyman Cisse)
La vérité si je mens II (Thomas Gilou)
La vie des autres
La vie d'artiste
La vie est belle (la vita e bella)
La vie est un long fleuve tranquille (Etienne Chatilliez)
La vie rêvée des anges (Erick Zonca)
Virgin Suicides (Sofia Coppola)
Les virtuoses
I Vitteloni (Federico Fellini)
Vivre au paradis
Vol au-dessus d'un nid de coucou (Milos Forman)
Les voleurs (André Téchiné)
Volte-face (John Woo)
Voyage au bout de l'enfer (Michael Cimino)
Voyage au centre de la terre
Le voyage dans la lune (Georges Melies)
Le voyage de Chihiro ( Hayao Miyazaki)

 

Wallace et Gromit
*Wayne's world
Western (Manuel Poirier)
Wrong cops (Quentin Dupieux)

 

Y'a bon les blancs (Marco Ferreri)
Y'a t il un pilote dans l'avion
Yaaba (Idrissa Ouedraougo)
Yeelen (Souleyman Cisse)
Yves (Benoit Forgeard)

 

Zardoz (John Boorman)
Zelig (Woody Allen)