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Réunion à 13H ce jeudi organisée par Philippe Lalle [Vice Président CEVU] sur les conséquences de la rétention des notes. Etaient convoqués, je tous les responsables d'UE de la licence STS, qui regroupe environ 4200 étudiants. Etaient présents, en plus de l'assemblée, les personnels du BAL et Daniel Simon [Président CEVU]. Je n'ai pas vraiment compté mais il y avait bien une centaine de personnes.

Philippe Lalle a donc exposé les conséquences de la rétention des notes sur l'organisation de la deuxième session et sur le déroulement du semestre de printemps. Il n'a nullement pris parti.

Pour la deuxième session. Tant que les notes ne seront pas rentrées dans apogée et validées par les jurys, et tant que les PV ne seront pas signés, il ne pourra pas y avoir de deuxième session. Organiser une deuxième session en donnant oralement les notes aux étudiants et sans convocation officielle est inenvisageable. Donc pas de notes rendues, pas de deuxième session. Ceci pour chaque UE individuellement. Donc deuxième session vers le 14 juillet.

Pour l'organisation du semestre de printemps sans les résultats ni de première ni de deuxième session, il envisage deux solutions. Soit, repousser le début des cours, mais cela peut pénaliser toutes les UE, mêmes celles qui ont déjà rendues leurs notes, et cela peut durer un bon moment. Décaler tout le système sans savoir quand cela va recommencer, semble peut réaliste à ses yeux.

Soit, s'affranchir des règles de progression, avec inscription sans que les étudiants sachent s'ils ont réussi ou pas leur UE de semestre d'automne. Problème pour savoir s'il vaut mieux redoubler ou continuer, problème des compensations… Donc un grand retour en arrière avec des étudiants qui s'inscrivent où ils veulent avec des progressions un peu anarchiques, donc un dysfonctionnement étalé sur plusieurs semestres. Plus des problèmes de transversales et autres que j'ai eu du mal à comprendre. Et donc des problèmes pour le personnel du BAL et pour les étudiants.

Il a signalé que si la saisie devait se faire manuellement par les gens du BAL, cela allait pénaliser les gens du BAL et de toutes les façons retarder le système.Daniel Simon était présent et a ajouté que cela allait pénaliser les étudiants, que Lionel Collet [Président Université] n'y pouvait rien et que l'on se trompait de cible.

En gros ils ont exposé tous les problèmes que cela allaient poser aux autres. Il s'en est suivi une discussion où chacun a argumenté son point de vue. Il leur a été demandé qu'il communique toutes ces conséquences à Lionel Collet pour qu'il réalise, lui aussi, la conséquence du blocage.

Personnes n'a convaincu personnes, aucune décision n'a été prise, ce n'était aucunement le lieu pour le faire. C'était informatif.