Chers collègues,
Je suis revenu à Lyon ce jour pour participer aux activités organisées cette semaine à Lyon pour que nous puissions enfin gagner, car notre cause est juste. Je vous transmets le soutien et les meilleures salutations de nos collègues du Havre, dont je mets certains en copie (ils sont très nombreux). Hélas, j'en suis empêché.
Il faut mobiliser les forces vives face à la destruction de notre Université, de sa tradition, de son honneur et de sa position de pilier de la République Française.